Un sourire, aussi subtil soit-il, c'est souvent tout ce qu'il faut pour réussir une opération publicitaire. Je ne parle pas d'humour, mais plutôt d'une énergie, entraînante, de dérision, de personnalité. L'idée étant de se souvenir de la marque et non d'une blague ou d'un dénouement surprenant.
Dans ce contexte, l'utilisation de l'animation devient judicieuse lorsque c'est parfaitement bien réalisé. Car il ne faut pas que le consommateur ne puisse s'attarder à la technique, mais bien embarquer dans une histoire. L'animation repousse toutes les frontières de la réalité. Plusieurs marques, dont Budweiser avec ses grenouilles, ont magnifiquement capitalisé sur cette manière de faire.
Kia, avec ses hamster, représente l'exemple parfaitement bien dosé d'animation percutante et divertissante qui décuple le capital de sympathie de la marque. Ici, pas question de se prendre au sérieux. On a plutôt décidé d'exploiter l'absurdité de l'effet irrésistible que provoque le mégasuccès du groupe LMFAO, «Party Rock Anthem». Je vous vois d'ici taper du pied malgré vous…
Le 11 septembre, si loin mais si proche...
Je ne pouvais passer à côté. Il y a 10 ans aujourd'hui, c'est comme si c'était hier, des milliers d'innocents périssaient sous les attaques d'extrémistes religieux à quelques centaines de kilomètres de Montréal. En ce jour, des millions se recueillent, peu importe les croyances, pour se remémorer l'ampleur de cette perte, l'injustice de se drame et pour tenter de lui donner ne serait-ce qu'une parcelle de sens.
Il y a 10 ans, nos vies se sont arrêtées. Scotché devant MSNBC pendant 48h, j'ai constaté l'horreur. Nos vies étaient catapultées ailleurs, notre inconscient collectif affecté irrémédiablement. Nous sommes aujourd'hui rendus ailleurs, mais nous nous souvenons tous. Oui, cet événement a été surmédiatisé. Oui, des horreurs, peut-être pires, assurément comparables, ont également eu lieu depuis 10 ans. Mais aujourd'hui, nous sommes le 11 septembre, pas le 12, pas le 28. Et cette date résonne pour des raisons particulières. Il ne faut pas oublier.
Voici une vidéo issue d'un collectif de réalisateurs d'animation qui proviennent de tous les coins de la planète, le tout mené par le studio virtuel Aniboom. Différentes visions, différentes réflexions, une même tristesse…
Dans ce contexte, l'utilisation de l'animation devient judicieuse lorsque c'est parfaitement bien réalisé. Car il ne faut pas que le consommateur ne puisse s'attarder à la technique, mais bien embarquer dans une histoire. L'animation repousse toutes les frontières de la réalité. Plusieurs marques, dont Budweiser avec ses grenouilles, ont magnifiquement capitalisé sur cette manière de faire.
Kia, avec ses hamster, représente l'exemple parfaitement bien dosé d'animation percutante et divertissante qui décuple le capital de sympathie de la marque. Ici, pas question de se prendre au sérieux. On a plutôt décidé d'exploiter l'absurdité de l'effet irrésistible que provoque le mégasuccès du groupe LMFAO, «Party Rock Anthem». Je vous vois d'ici taper du pied malgré vous…
Le 11 septembre, si loin mais si proche...
Je ne pouvais passer à côté. Il y a 10 ans aujourd'hui, c'est comme si c'était hier, des milliers d'innocents périssaient sous les attaques d'extrémistes religieux à quelques centaines de kilomètres de Montréal. En ce jour, des millions se recueillent, peu importe les croyances, pour se remémorer l'ampleur de cette perte, l'injustice de se drame et pour tenter de lui donner ne serait-ce qu'une parcelle de sens.
Il y a 10 ans, nos vies se sont arrêtées. Scotché devant MSNBC pendant 48h, j'ai constaté l'horreur. Nos vies étaient catapultées ailleurs, notre inconscient collectif affecté irrémédiablement. Nous sommes aujourd'hui rendus ailleurs, mais nous nous souvenons tous. Oui, cet événement a été surmédiatisé. Oui, des horreurs, peut-être pires, assurément comparables, ont également eu lieu depuis 10 ans. Mais aujourd'hui, nous sommes le 11 septembre, pas le 12, pas le 28. Et cette date résonne pour des raisons particulières. Il ne faut pas oublier.
Voici une vidéo issue d'un collectif de réalisateurs d'animation qui proviennent de tous les coins de la planète, le tout mené par le studio virtuel Aniboom. Différentes visions, différentes réflexions, une même tristesse…
Un ajout incontournable, Paul Simon qui chante ce matin à Ground Zero, tout simplement, superbement émouvant...